Anonyme [pour le compte de Monsieur le Marquis de Flamberge]
PISSE-MOI DANS LA BOUCHE
Mondial's Diffusion, Paris [imprimé pour le compte de monsieur le Marquis de Flamberge], 1973
1 volume in-8 (18,2 x 13,7 cm), broché, dos carré collé, 206-(1) pages. La pagination bien que commençant à la page 7 et sans page de titre est complète. Couverture illustrée photographique (identique première et quatrième de couv.). Très bon état, dos non marqué, une petite trace d'étiquette et de stylo sur la couverture (peu visible). Exemplaire très frais.
ÉDITION ORIGINALE.
Le Prologue est signé "Méfisto fait le Z...".
"A ce propos, comment ne pas recommander à nos lecteurs la plus exigeante discrétion ? Un ouvrage comme celui que vous tenez entre les mains n'a en effet de chances de pouvoir être connu d'un certain nombre qu'à condition qu'une sorte de tacite entente règne entre les lecteurs et les responsables de sa publication. Toute publicité intempestive, tout article, toute chronique ne pourraient que nous nuire" (extrait du Prologue).
Comme il est précisé plus loin dans le même prologue : "Mettons en garde, aussi, ceux qui auraient tendance à confondre ce requiem avec l'un de ces banals - et, hélas !, souvent débiles - bouquins pornos. Il s'agit là de confidences hallucinantes, recueillies auprès de personnes vivantes qui approchèrent de près (le mot est juste) le Comte Adalbert. Ces maniaques, ces artistes aussi, se sont livrés sans restrictions, ont raconté leur vie frénétique, ce qui explique l'extrême violence du texte. [...]" (extrait).
"Bertrand souhaita rendre à la jeune fille ses caresses, et il engloba de ses larges paumes ses seins fermes, avant de descendre jusqu'au ventre plat de Lilith. Il pénétra à son tour le sexe humide de la jeune fille, le pressant et le griffant de ses doigts. Puis, craignant de diffuser à nouveau son précieux liquide dans le vide, il souleva vigoureusement Lilith par la taille. Saisissant les intentions de Bertrand, la jeune fille ouvrit son sexe d'une main, et, de l'autre, guida le membre droit de son compagnon. Lorsque Bertrand la laissa retomber sur ses cuisses larges, Lilith se retrouva perforée si profondément qu'elle faillit crier de douleur. Ensuite, l'étreignant à nouveau par la taille, Bertrand éleva et abaissa son corps en cadence. Lilith aida volontiers son amant, raidissant ses jambes au rythme qu'il convenait. Le jeune homme prolongea cette voluptueuse friction tant qu'il put combattre le besoin de jouir plus intensément qui montait en lui, puis finit par libérer les quelques rafales qui portèrent au comble son plaisir. Lilith sauta vivement sur ses pieds, les cuisses dégoulinantes de sperme et, le pas encore hésitant d'émotion, elle rejoignit sa sœur. Toutes deux convinrent qu'il était temps de quitter "Genetic-club". (extrait)
TRÈS BON EXEMPLAIRE DE CE ROMAN PORNO SADIQUE RARE.
LIVRE INTROUVABLE.
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